à signer le pacte écologique proposé par la Fondation Nicolas Hulot.
http://www.pacte-ecologique.org/legislatives/departement.php?id=059
A ceux qui trouveraient cela étrange, qui douteraient de ma sincérité, je tiens à dire qu’il est au contraire parfaitement normal qu’un militant communiste soit impliqué dans la protection de notre planète ; parfaitement évident qu’un candidat soutenu par le P.C.F. signe ce pacte écologique.
Que notre Terre soit en danger, tous en sont d’accord. Le projet politique que je porte avec Cathy DONDEYNE sur notre circonscription est incompatible avec ces logiques de rentabilité financière à court terme qui mettent en péril l’avenir du monde tout entier.
Le réchauffement climatique, la disparition de milliers d’espèces animales et végétales ne sont pas une fatalité. C’est le résultat d’un choix fait en toute conscience par une poignée de décideurs, de grands patrons et de politiciens à leurs ordres qui ont choisi le profit immédiat contre le développement durable, l’exploitation sans merci des ressources de la Terre et des Êtres Humains contre le plus élémentaire respect de la Vie. Comme le dit Cathy : « A quoi serviront ces fortunes accumulées si toute forme de vie disparaît à cause de la pollution ? »
Mon engagement politique a toujours été clair : l’Être Humain doit toujours être au cœur de tous les projets. Il n’y a pas de développement possible pour l’Humanité si nous méprisons et exploitons la planète à outrance. Ces logiques d’exploitation, qui détruisent notre Terre, dans un souci de profit maximum et immédiat sont les mêmes que celles qui conduisent à licencier 10% des salariés français d’ALCATEL-LUCENT au nom du profit immédiat des actionnaires en détruisant des familles entières.
Sur notre circonscription, nous avons tous suivi le combat des QUEBECOR. Eux aussi devaient être sacrifiés sur l’autel du Grand Capital au nom d’une plus grande rentabilité immédiate de l’entreprise pour le profit d’une poignée d’actionnaires. Ils ont refusé de se laisser faire, ont lutté pour ne pas être les « dindons de la farce », abandonnés avec femmes et enfants sur la bande d’arrêt d’urgence de notre société. Leur combat, je l’ai soutenu ; je les ai accompagnés et je suis fier d’avoir été aux côtés de salariés qui ont ainsi prouvé que « la loi du marché » ou le bon vouloir des actionnaires ne sont pas une fatalité.
Construire une société plus juste, respectueuse des hommes et des femmes qui la composent ne peut pas se faire en méprisant, en surexploitant les ressources naturelles de la planète. Voilà pourquoi, candidat soutenu par le P.C.F. sur la deuxième circonscription, j’ai signé le Pacte Ecologique et pourquoi je me bats pour un développement autant respectueux des Hommes que de la Terre qui nous nourrit. L’un ne va pas sans l’autre !
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